Les déclarations faites récemment au sujet de la rémunération des dirigeants de l’UNICEF par la voie d’une campagne de désinformation en ligne et dans un article sont fausses. Cette campagne ne vise qu’à discréditer l'UNICEF et plusieurs ONG de premier ordre. Veuillez empêcher que ces fausses déclarations à propos de l’UNICEF continuent de circuler et vous empêchent, vous et d’autres personnes, de soutenir la mission de l’UNICEF et de contribuer à venir en aide aux enfants les plus vulnérables du monde.
L’identité des représentants de l’UNICEF ciblés par cette campagne de désinformation n’a pu être établie clairement; la rémunération du personnel d’UNICEF Canada est toutefois divulguée sur le site Web de l’Agence du revenu du Canada et l’information financière relative à UNICEF Canada est accessible en permanence sur notre site Web. La rémunération du personnel d’UNICEF Canada reflète le niveau de responsabilité et l’expertise nécessaires pour combler chaque poste et n’est pas préjudiciable à la prestation des services et des programmes de l’UNICEF, dont bénéficient les enfants et les familles.
UNICEF Canada s’emploie sans faillir à remplir sa mission d’une manière fiscalement responsable en veillant à rendre compte de ses activités aux donateurs et donatrices qui lui accordent leur confiance au nom des enfants du monde entier.
La rémunération du directeur général de l’UNICEF, qui représente l’UNICEF dans presque tous les pays en tant que sous-secrétaire général des Nations Unies, relève également du domaine public (en anglais suelement). La rémunération brute de tous les dirigeants de l’ONU, sous-secrétaires généraux compris, s’élève à 189 349 $ US; après les déductions pour équivalence fiscale, leur rémunération nette varie de 131 000 $ US à 146 000 $ US (selon qu’ils aient ou non des personnes à charge).
Nous vous prions d’empêcher que les fausses déclarations au sujet de l’UNICEF continuent de circuler et nous vous remercions de votre fidèle appui.
Nos donateurs et donatrices s’attendent à ce que nous limitions le plus possible nos dépenses administratives, et l’UNICEF souscrit à ce principe.