Publié par :
UNICEF Canada
30 août, 2017
La Convention relative aux droits de l’enfant des Nations Unies stipule que tous les enfants ont droit à une éducation de bonne qualité et qu’ils devraient être encouragés à atteindre le plus haut niveau possible de scolarité. De nombreux enfants dans le monde, et plus que jamais en 2017, ne sont toutefois pas scolarisés ou vont à l’école dans les pires conditions : guerre, famine, migration, malnutrition, catastrophes environnementales et maladie.
On dit « qu’une héroïne ou un héros est une personne ordinaire qui trouve la force de persévérer et de résister en dépit d’obstacles accablants ». Ces photos montrent que les enfants sont les personnes les plus résilientes, et par là même des héros, qui vivent parmi nous, même si tout ce qu’ils essaient de faire est d’apprendre.
Les enfants ont droit à une éducation de bonne qualité. Soutenez les efforts de l’UNICEF visant à maintenir l’éducation des enfants lors de situations difficiles dans le monde entier.
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La jeune Stanislava est âgée de 15 ans. Après sa naissance, elle a été placée dans plusieurs institutions publiques pour enfants. Elle vit maintenant dans un centre de placement de type familial, ou petit foyer collectif, pour enfants handicapés et elle va à l’école publique. Stanislava est soutenue par le personnel enseignant, des intervenantes et intervenants, et des travailleuses et travailleurs sociaux, et elle est suivie par des psychologues, des orthophonistes et des spécialistes en réadaptation.
Angelina, une élève du deuxième cycle du primaire âgée de 10 ans, écrit au tableau dans une classe de l’école no 2 de Marinka, dans la région de Donetsk, en Ukraine. En arrière-plan, des sacs de sable de 21 tonnes sont destinés à renforcer les fenêtres afin d’éviter qu’elles se cassent lors des fréquents bombardements.
Une jeune fille écrit au tableau ses réponses à une question à son école primaire Salaama soutenue par l’UNICEF, à Galkayo, en Somalie.
Après les cours, des élèves quittent l’école Yakoua située à Bol, dans la région du Lac, au Tchad. Cette école de 800 élèves pour seulement huit enseignantes et enseignants accueille 500 enfants déplacés, ce qui exerce des pressions sur le système d’éducation déjà faible du pays.
Des enfants jouent au ballon pendant la récréation à une école primaire soutenue par l’UNICEF au camp de Bukasi pour personnes déplacées à Maiduguri, dans l’État de Borno, au Nigeria.
Des filles sont assises à même le sol après les cours à l’école primaire Upper Nile du site de protection des civils de Bentiu, au Soudan du Sud.
L’école Mouhamed Seif Mahmoud soutenue par l’UNICEF dans le quartier Sakhoor d’Alep-Est constitue un espace d’apprentissage alternatif. Cette école établie dans des conteneurs est située sur le terrain de l’ancienne école qui a été détruite lors du conflit.
À Saada, dans le gouvernorat de Saada, au Yémen, les élèves écoutent leur enseignant pendant un cours donné dans une tente-école de l’UNICEF après que leur école Aal Okab eut été détruite en juin 2015.
Des élèves sont assis dans une classe au camp Sin Tet Maw pour personnes déplacées dans l’État de Rakhine, au Myanmar.
Badiaa, une jeune réfugiée syrienne âgée de neuf ans (la deuxième, à gauche), est assise à un pupitre de sa classe en compagnie de ses amies italienne et syrienne à une école primaire publique de Trento, dans la province de Trentino, en Italie. Originaire de Homs, en Syrie, Badiaa est arrivée du Liban grâce à un couloir humanitaire qui a permis à 93 Syriennes et Syriens réfugiés d’atteindre l’Italie en toute sécurité en février 2016.
Un enseignant parle à un enfant sud-soudanais réfugié pendant des activités organisées dans un centre de la petite enfance au camp Bidibidi pour personnes réfugiées, dans le district de Yumbe, dans le nord de l’Ouganda.
Des enfants sont assis dans une classe au centre d’apprentissage pour personnes réfugiées administré par l’ONG Apostoli, dans le centre d’Athènes, en Grèce. Le centre soutenu par l’UNICEF procure une éducation aux enfants de tous âges qui ne sont pas inscrit à un programme d’éducation formelle ou qui souhaitent enrichir l’éducation qu’ils reçoivent dans des écoles grecques. Les cours sont offerts dans la langue maternelle des élèves, en anglais et en grec.
Yasmin Akther, une réfugiée rohingya âgée de huit ans (à droite), chante avec d’autres enfants pendant une assemblée au centre d’apprentissage Prajapatti (papillon) de l’UNICEF au camp de fortune Kutupalong pour personnes réfugiées rohingyas à Ukhiya, un sous-district de Cox's Bazar, au Bangladesh.
La jeune Mariatu Bangura, âgée de 18 ans, embrasse son fils Abdulai Kamara chez elle avant de partir pour l’école dans la commune de Rokupr du district de Kambia. Ils vivent tous deux avec sa grand-mère Yamaya Kamara (en arrière-plan), qui s’occupe de l’enfant pendant que Mariatu est à l’école. On aperçoit également derrière eux le cousin de Mariatu, Ya Alimamy Kamara. Mariatu, qui a donné naissance à Abduli en octobre 2015, va à l’école secondaire agricole Kubra, située en ville. Elle a réintégré le système scolaire classique après avoir suivi des cours de rattrapage gratuits pour les filles qui sont devenues enceintes ou ont accouché pendant l’épidémie du virus Ebola. Le propriétaire de l’école agricole a fourni l’uniforme scolaire de Mariatu et contribue à ses droits de scolarité. Afin de subvenir à ses besoins et à ceux de son enfant, Mariatu vend des chaussons et a entrepris de faire un potager. Elle veut devenir une infirmière une fois ses études terminées.
(De gauche à droite) Élodie, âgée de 7 ans, Givelore, âgée de 8 ans, Francesca, âgée de 6 ans, et Érica, âgée de 8 ans, se réunissent à l’extérieur de leur école Notre Dame de Lourdes, à Jérémie, en Haïti.
En janvier 2017, l’UNICEF a terminé la restauration de 14 écoles, alors que 107 autres étaient à divers stades de progression. Ces écoles restaurées ont permis à 4 200 élèves de retourner en classe. Selon les prévisions, plus de 36 000 élèves, au total, retourneront dans les écoles réhabilitées par l’UNICEF.
Le jeune Joycer, âgé de trois ans (à gauche), et sa mère Ofelia se tiennent dans l’école maternelle inondée qu’il fréquentait à El Yucal, une communauté rurale du district de Sullana, à 35 kilomètres de la ville de Piura, au Pérou.
Des élèves sautent à la corde sur le terrain de jeu de l’école El Hadana de Zanzur, à l’est de Tripoli, en Libye.
En Afrique du Sud, une fille reçoit une collation et une boisson au parc sécurisé Isibindi de la commune de Soweto, dans la ville de Johannesburg. De nombreux autres enfants attendent leur tour derrière elle. Les parcs sécurisés, établis dans le cadre du projet Isibindi soutenu par l’UNICEF, sont des aires communautaires désignées où des intervenantes et intervenants proposent après l’école des activités éducatives et récréatives constructives et adaptées à l’âge aux enfants et aux jeunes. Dans le cadre du programme Isibindi, des membres de la communauté sont formés en tant qu’intervenantes et intervenants auprès des enfants et des jeunes afin de repérer et d’aider les familles vulnérables, et de s’assurer que les enfants à risque ont accès aux services essentiels. Ces services peuvent comprendre l’accompagnement des enfants à l’école, à une clinique ou à l’hôpital, au besoin; l’aide apportée aux enfants pour obtenir des documents officiels importants, comme un acte de naissance; une aide pour obtenir des subventions gouvernementales, ou une aide et des consultations psychosociales.
Le représentant de l’UNICEF en Iraq, Peter Hawkins (en chemise blanche, en arrière, au centre), participe à une activité scolaire lors d’une rencontre avec des élèves et des membres du personnel enseignant de l’école Ammar Ibn Yasser, dans le quartier Wadi Hajar de Mossoul, en Iraq. L’école a rouvert depuis deux mois, mais le personnel enseignant dit manquer d’eau courante, d’électricité et de manuels scolaires. Malgré la réouverture de l’école, la plupart des vitres sont cassées, et d’autres parties de l’établissement sont toujours en cours de nettoyage et de réparation.
Ahmed (qui porte une cravate) réconforte son ami Ibrahim bouleversé au souvenir des trois dernières années. Ces deux garçons fréquentent une école de l’est de Mossoul qui a été réhabilitée par l’UNICEF, soit l’une des 336 écoles rouvertes grâce à notre aide en date du 14 juillet.