Les quatre piliers de la santé et du bien-être des enfants
Cette année, l’UNICEF concentrera ses efforts dans quatre domaines essentiels qui nous permettrons de venir en aide à encore plus d’enfants. En faisant un don aujourd’hui, vous contribuez à notre travail en matière de :
SANTÉ
Grâce aux campagnes de vaccination de masse et à l’expansion des soins de santé de base dans le monde entier, les enfants sont deux fois moins susceptibles de mourir avant leur cinquième anniversaire qu’ils ne l’étaient en 1990. Mais les progrès sont loin d’être égaux. Même aujourd’hui, l’endroit où un enfant vient au monde constitue encore un important facteur pour déterminer s’il survivra ou non.
À l’échelle mondiale, 15 000 enfants meurent chaque jour de causes évitables, comme la pneumonie, le tétanos et la diarrhée. Ces maladies peuvent être traitées pour quelques cents par dose. C’est réussir à venir en aide à chaque enfant qui est difficile.
L’UNICEF s’efforce de se rendre jusqu’aux enfants qui en ont le plus besoin, qu’ils se trouvent en Afrique subsaharienne, en Asie du Sud, où vivent beaucoup d’enfants vulnérables, ou partout ailleurs dans le monde. La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de prévenir le décès de nouveau-nés et d’enfants… mais nous avons besoin de vous pour y parvenir.
EAU ET ASSAINISSEMENT
En ce qui concerne l’eau potable, la solution se trouve littéralement sous nos pieds. Creuser profondément, même dans les pays les plus chauds, révèle souvent des sources naturelles et abondantes d’eau potable. Des puits situés au centre des villages peuvent transformer positivement des vies.
Posez la question à Nyahok Yar. Dans son fauteuil roulant improvisé, elle devait chaque jour voyager pendant des heures afin de puiser de l’eau pour ses enfants à Bentiu, au Soudan du Sud. Pendant la saison des pluies, les chemins boueux rendaient son parcours presque impossible. Elle dépendait alors des autres jusqu’à ce que l’UNICEF répare l’usine de traitement des eaux de la commune.
Au Soudan du Sud touché par la sécheresse, il est impossible de traiter les enfants dénutris sans eau potable. « Quelle que soit la quantité de nourriture qu’un enfant souffrant de malnutrition mange, il n’ira pas mieux si l’eau qu’il boit n’est pas potable », explique Manuel Fontaine, le directeur des programmes d’urgence de l’UNICEF.
La sécheresse et le manque d’assainissement créent également un terrain propice pour les maladies. C’est un cercle vicieux que seule une solution comme les programmes WASH (eau, assainissement et hygiène) de l’UNICEF peut briser. Aidez-nous à réparer des puits, à construire des latrines et à répandre de saines pratiques d’hygiène afin qu’un plus grand nombre d’enfants puissent survivre à de graves crises, comme un conflit ou une sécheresse.
ALIMENTATION
L’UNICEF est à pied d’œuvre dans les endroits où la faim persiste. Nous produisons mondialement 17 % plus de nourriture qu’il y a 30 ans : comment peut-il avoir moins de nourriture alors que nous en produisons plus? Et comment pouvons-nous laisser faire cela en sachant qu’il est impossible de réduire les taux de mortalité chez les enfants sans leur procurer une alimentation adéquate?
Près de la moitié des décès d’enfants âgés de moins de cinq ans sont attribuables à la malnutrition. Ces bébés et ces tout-petits ne vont pas seulement au lit le ventre vide; leur piètre alimentation les expose au risque de contracter de graves maladies et infections. Une bonne alimentation permet à chaque enfant de devenir fort. Pourtant, les enfants les plus pauvres ne reçoivent jamais assez de nutriments pour se défendre contre les maladies qui frappent les plus vulnérables.
C’est pourquoi l’UNICEF gère des programmes d’alimentation dans plus de 90 pays et procure aux nourrissons et aux jeunes enfants les bons aliments lorsqu’ils en ont besoin. Le secret de leur survie réside dans une bonne alimentation.
Lorsque vous faites un don à l’UNICEF, vous nourrissez des enfants de diverses manières, en améliorant, par exemple, les pratiques d’allaitement maternel; en procurant des vitamines A et D, du fer, du zinc, du calcium et de l’acide folique pour contrer les carences en nutriments; en traitant et en prévenant la malnutrition; et en nous aidant à répondre rapidement aux crises alimentaires.
ÉDUCATION
Beaucoup d’enfants syriens n’ont jamais vu l’intérieur d’une salle de classe, mais ils rêvent quand même d’aller à l’école. Si nous les laissons faire, les conflits et les déplacements peuvent détruire l’avenir d’un enfant. Mais vous et moi, nous ne les laisserons pas faire.
Le jeune Ali, âgé de 11 ans, avait ses deux meilleurs amis à l’école, en Syrie. Ils y sont morts lorsqu’une bombe a frappé l’établissement. Sa famille a fui après cette tragédie. « J’étais le premier de ma classe, mais, à cause de la guerre, je ne sais pas ce qu’il m’est arrivé; je ne savais plus lire. »
Ali peut sourire en nous parlant, car il a réappris à lire dans une école de l’UNICEF. Il faut plus qu’un programme scolaire régulier pour aider les enfants à rattraper ce que la guerre leur a enlevé. L’UNICEF a donc mis en place un programme d’apprentissage spécial qui permet aux enfants comme Ali de terminer leur éducation de base en deux fois moins de temps.
Il faut beaucoup de courage pour rattraper un retard. Vous pouvez aider des enfants comme Ali à se sentir à nouveau en sécurité à l’école.
S’il vous plaît, engagez-vous à venir en aide aux enfants cette année.
L’UNICEF est déterminé à venir en aide aux enfants, quels que soient les problèmes auxquels ils font face, qu’il s’agisse de discrimination fondée sur le sexe ou l’origine ethnique, d’être né à un endroit où il n’y a que peu ou pas de protection contre la violence, ou d’une combinaison de toutes ces choses. Nous croyons que chaque enfant mérite d’avoir une enfance et des possibilités égales dans la vie.